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il y a 4 ans
Ma femme et moi venons d'avoir quarante ans. Nous vivons dans les alentours de Perpignan dans une grande villa avec vu sur la mer. Nous travaillons tous les deux dans les ressources humaines. Ma femme, Karine, est DRH chez un petit groupe pharmaceutique, tandis que moi, Stéphane, je fais passer des entretiens d'embauche pour une chaîne de supermarchés. Passionnés par notre travail respectif, nous n'avons jamais eu le temps d'avoir un e n f a n t . Physiquement presque tout nous oppose... Elle est petite, mate de peau ; ses hanches sont larges et sa poitrine généreuse. Je suis grand, mince, les cheveux obscur et le teint pâle.
Depuis peu, une association humanitaire nous a demandé d'héberger un vieux réfugié libyen qui a fui son pays pendant la révolution. Ali est musulman, il ne parle pas français et c'est parfois compliqué de communiquer avec lui. Nous ne connaissons pas son âge, mais il doit être plus vieux que mon père. Son visage maigre et flétri est toujours souriant, malgré les aléas qu'il a dû subir. Ses yeux, abrités derrière d'épaisses lunettes, laissent souvent transparaitre la fatigue du vieil homme. Nous ne lui demandons jamais rien, mais Ali aime se rendre utile, pendant que nous travaillons il s'occupe d'entretenir notre jardin : il tond la pelouse, il nettoie la piscine ... etc. ...
Ce jour-là, ma femme était venue me chercher au travail dans notre décapotable. Depuis l'allé qui conduis au garage on apercevait Ali en haut d'une échelle en train de décoincer une de mes balles de golf perchée sur le toit. Lorsqu'il nous entendit, il tourna son torse grêle et leva son bras écharné pour nous saluer. Avec le mouvement, l'échelle vacilla et le vieil arabe perdit l'équilibre. Affolé, il tomba sur le toit vitré de la véranda qui s'écroula sous son faible poids.
Nous accoururent dans cette loggia pour voir l'étendue des dégâts. C'était un désastre, il avait perdu connaissance. Son corps ancien gisait sur le sol, entre nos sièges en rotin. Des éclats de verre le taillaient sur tous le corps. On distinguait, sous sa tunique traditionnelle, des tessons pointus enfoncés dans ses jambes, son torse et ses bras. Tremblant, je n'osais pas le toucher de crainte de le blesser davantage. Karine, accroupis à côté de lui, avait commencé à le nettoyer. Je m'assis et regarda. La situation était désagréable et le vieil homme sentait fort. « Va chercher un coussin pour sa tête » dit-elle agacé de me voir inactif.
Quand je revins avec un oreiller remplis de plumes, ma femme avait déjà enlevé quelques éclats. « Ça sent le bouc » dis-je pour dédramatiser la situation. Elle ne me regarda pas, elle se concentrait sur les cuisses velues. Elle fut obligée de relever un peu plus la djellaba tachée de s a n g . Délicatement, elle tirait éclat après éclat. J'en voyais encore beaucoup et je dis « Chérie, dégage sa robe, j'en vois d'autre ... » Elle fit une grimace mais souleva encore un peu la toile, révélant plus des trois quarts des jambes faméliques du vieux réfugié. Les poils ne rendaient pas le travail facile. J'aidais mon épouse en repérant les éclats et elle, doucement, les arrachait en caressant un peu les zones sensibles avec ses mains fines.
Accroupis aux pieds d'Ali, je remarquai une masse obscure entre ses cuisses, dans l'ombre de la djellaba. On aurait dit une murène noire enroulée dans son nid. Ne voulant pas alarmer inutilement ma femme je repoussai rapidement cette bête endormis dans sa tanière avec la main. J'ai trouvé sa queue lourde et chaude au toucher. Karine dû découvrir un plus de la vielle peau flétri pour retirer plus de bouts de verres. Inévitablement, cet épais morceau la viande grise est entrée dans le champ de vision de mon épouse. Trop occupé à désinfecter les plaies elle remarqua à peine ce long boyau strié. Patiemment, elle continuait son œuvre.
Quand vint le moment de lui nettoyer l'entre-jambes, d'une main, elle attrapa sans émotion le membre ridé et puant du vieil arabe et continua son travail comme si de rien n'était, comme si elle voyait des queues gigantesques tous les jours... Je suis bien placé pour savoir que ce n'était pas le cas! Je n'étais pas mécontent de ma verge, mais Ali me surpassait. Bien qu'au repos, son engin était deux fois plus long que le mien quand je bande. Lui vieux et maigre, moi encore jeune et bien portant, paradoxalement ma bite était rachitique à côté de sa trompe. J'étais un peu honteux.
Le sexe du réfugié musulman semblait se réveiller mollement dans la main de ma femme. Paresseusement il s'allongeait jusqu'à devenir un tube rigide couvert de stries. Gamin, j'avais vu la bite d'un âne au zoo, celle d'Ali n'avait rien à lui envier.
« Prends ça, c'est trop lourd, j'arrive plus à travailler » me dit-elle en me tendant la hampe érectile. Gêné, j'attrapais le magnifique morceau de chair grise. Dans ma main tremblante, je sentais pomper les veines qui alimentaient en s a n g ce membre encore calotté. J'essayais de tenir fermement cette bite qui semblait vouloir s'échapper. Je regardais ces boules volumineuses et frisées. Tandis que je songeais nerveusement à la quantité de liquide qu'elles pouvaient contenir, je perdais tout contrôle sur moi. Le tremblement de ma main me fit lâcher cette queue gonflée qui alla frapper avec f o r c e la bouche pulpeuse de ma femme. Karine s'arrêta et me regarda « Tu ne peux même pas faire une chose correctement », me reprocha-t-elle. Elle empoigna le sexe d'Ali et le serra entre son mollet et sa cuisse charnue.
La queue était maintenant décalottée. Avec la pression son gland continuait de gonfler. Sa large collerette le faisait ressembler à un champignon ... sans doute vénéneux. C'était un spectacle étonnant de voir cette bite monstrueuse qui commençait à baver du liquide séminal sur les jambes dodues de mon épouse. La bouche plissée du monstre était à quelques centimètres des sous-vêtements de ma femme accroupie. Sa chatte était visible à travers l'ouverture de ses jambes, sous le tailleur court qu'elle portait.
« Enlève-lui sa djellaba » m'ordonna-t-elle. Je tirai cette loque infecte et déshabillai Ali en lui passant sa tunique par la tête. Le vieil homme gisait complétement nu. Je le regardais un moment. Rien ne laissait penser que ce corps famélique et fatigué abritait ce joyau de virilité.
Karine continuait cette pénible besogne. Elle se mit à califourchon de sorte que ses genoux touchaient le sol et que ses jambes étaient de chaque côté du corps osseux. D'où j'étais, je pouvais admirer ses lèvres vaginales qui s'entrebâillaient. Mon épouse porte toujours des légers dessous de soie et aujourd'hui elle ne faisait pas exception à la règle.
Je ne sais pas ce qui s'est passé, sans doute perdit-elle sa prise. La vielle queue massive du musulman bondit sous la jupe de ma femme et s'immisça dans sa raie écarté par une position peu confortable. Je ne pouvais plus voir son visage. «Mon dieu » s'écria t'elle «Tu peux pas faire quelque chose? ... sort son engin de mes lèvres au lieu de rester sans rien faire! »
Je me suis accroupie derrière elle, entre les jambes d'Ali et je mis mes mains dans sa culotte pour dégager cette bite de cheval de sa chatte savonnage. Mais au lieu de l'effet escompté, le membre charnu du vieil arabe s'enfonça un peu plus dans la vulve distendue de mon épouse. Elle glapit et souleva son derrière pour mieux laisser passer mes mains. En palpant je fini par frotter mon index sur son clitoris gonflé. Ce contact inopiné déclencha un orgasme. Elle se cambra subitement et se rassit sur cette grosse queue libyenne en poussant un hurlement plus profond que le premier. Son pubis était trempé de leur gluant liquide séminal qui s'était mélangé dans son vagin. Sous le poids de ses fesses mouillées, mes mains glissèrent sur les lourdes couilles boursouflées du vieil homme qui en un instant se rétractèrent. A son tour, cette caresse accidentelle provoqua l'orgasme du brave musulman. Son sexe cracha d'épaisses giclées dans la vulve accueillante de ma femme. La f o r c e des jets la fit tomber sur le côté.
Cette queue massive, comme un tuyau d'arrosage furibond, continuait d'expulser la semence précieuse dans toute notre véranda. Toujours accroupis, quelques décharges poisseuses vinrent me bruler le visage. « Fait quelque chose!» Lui criais-je. Et sans que je m'y attende, elle se pencha sur lui et commença à nettoyer sa bite encore gonflée avec sa petite langue rose.
Tandis qu'elle lui léchait le gland complétement souille de foute, Ali se réveilla. Surpris, il saisit sa djellaba et se rhabilla en se levant. L'air navré, il dit rapidement quelques mots incompréhensibles et s'enfuit vers ses appartements.
« Fais pas cette tête!» me dit-elle en rigolant tandis que j'essuyais le sperme toujours chaud de mes lèvres. Elle continua « Le pauvre vieux s'est fait mal dans notre maison, il faut bien le traiter pour ne pas qu'il nous dénonce à l'asso! ». Je la regardais les yeux écarquillés quand elle me cria: «Viens me nettoyer la chatte bon à rien! »
Tandis qu'elle s'assaillait sur mon visage elle ajouta en souriant « Je sais que ça t'a plu... si tu t'appliques, on recommencera demain »
Robertomaloch
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